Éthique des usages numériques
Évolution des usages, une dimension éthique à instaurer
Éthique et Intelligences Artificielles
A ses débuts, l’IA a proliféré dans une course à l’euphorie de la découverte, mais sans vraiment se poser de questions, les yeux rivés sur le guidon d’avancées en cascade et de business à développer. Elle a investi tous les recoins de la société en la mettant devant le « fait accompli », usages après usages. L’idée de devoir revisiter ces us et coutumes suscite des réticences. Pourtant, l’éthique des Intelligences Artificielles sera à coup sûr l’un des grands défis de la société du XXIè siècle.
Éthique et Métavers
Alors qu’ils existent déjà (à bas bruit) depuis le début des années 2000, les métavers promettent désormais une véritable dimension virtuelle à notre société numérique. Ces univers virtuels se veulent immersifs, ils nous invitent à traverser l’écran pour nous offrir une virtualité de plain-pied avec la réalité. Cependant, ils représentent dès à présent de nombreux défis à relever pour notre société, l’éthique est l’un d’entre eux.
Laurent Chrétien, CEO de Komodal, et Jérôme Béranger, CEO de GoodAlgo et Chercheur associé au CERPOP, proposent une « Charte éthique » en 10 points à intégrer dans la conception, la mise en place, l’usage et le suivi des mondes virtuels : Bienfaisance, justice, autonomie, non-malfaisance, dignité humaine, régulation collaborative, garantie humaine, humanité digitale, transparence et environnement durable.
Et pour ne pas manquer la suite de l’Histoire du numérique…
(les adresses e-mails ne sont ni affichées ni cédées à des tiers)